Enquête de l’Uil qui a interviewé 1300 étrangers
Rome, 13 décembre 2010. Il a un niveau d’instruction moyen, travaille comme dépendant, a un âge moyen de 39 ans, il réside en Italie d’au-delà de six ans et dans les 64% des cas vivent en location avec un contrat régulier. C’est la photographie des conditions relatives à l’habitation des immigrés en Italie bondie par le patronage Ital de l’Uil, qui a interviewé un champion de 1.300 immigrés qui se sont retournés à ses guichets pour rénouveler de la permis de séjour ou pour la concession du permis d’entrée.
Soixante-huit les Pays de provenance d’interviewés avec une plus vaste représentation de citoyens marocains (16,6%), d’albanais (11,7%), d’ukrainiens(11,5%), de moldaves (4,8%) et de tunisiens (4,8%). Des 64% qui vivent en location avec un contrat régulier, 73,6% dépense entre les 200 et 600 euro le mois. Une dépense qui augmente entre 400 et 700 euro, pour 63,8% de quel, parmi les propriétaires de maison, ils payent un mutuel. C’est au Nord, avec la province de Milan, à détenir le record de citoyens étrangers qui ont acquis un immobile (30,6%). Des 1300 interviewés, seulement 5,3% a déclaré de ne pas avoir quelque type de contrat : une valeur qui résulte plus élevé au sud avec 13,8% avec une pointe dans la province de Naples avec 14.7%. En observant la topographie des villes sont surtout les périphéries à accueillir les citoyens immigrés, ils y vivent 39,6% d’eux, et des zones semicentrales avec 33% des présences.
