Quelques problèmes dans les zones à forte concentration d’immigrés.
Les écoles ont réouvert dans toute l’Italie et près de 8 millions d’étudiants, dont 700.000 fils d’immigrés, sont retournés sur les bancs. Le Ministre de l’Instruction Maria Stella Gelmini: « OIl n’y a pas d’intégration là où il y a seulement ou presique seulement des étudiants étrangers ».
Cette année aussi vaut l’indication du Ministère de l’Instruction de ne pas dépasser le plafond de 30% des élèves non italiens, dans chaque classe. La règle a été appliquée de manière flexible et sans trop de difficulté dans la plupart des écoles, mais elle a créé des problèmes dans les zones à plus forte concentration d’immigrés.
Un cas limite s’est vérifié à Milano où, dans la première classe de l’école primaire (Scuola elementare) “Lombardo Radice” de via Paravia, étaient inscrits 17 enfants dont deux seuls italiens.
Dans l’impossibilité de pouvoir respecter les direxctives ministérielles, la première classe n’a pas été formée et les enfants ont du etre dérouitésd sur d’autres écoles.
Une décision qui a déchainé des pèolémiques et qui, après les recours des parents, se conclura au tribunal.
« L’école ‘Lombardo Radice’ est constituée de deux structures: dans l’une, il y avait la classe en question tandis que dans l’autre, à distance d’un kilomètre et demi, une autre classe n’atteignait meme pas le plafond de 30% d’élèves immigrés. Les écoliers ont été redistyribués sans discriminer personne et garantissant à tous la possibilité de fréquenter la première année« , a expliqué le Ministre Mariastella Gelmini.
Et d’ajouter: « Le plafond de 30% sert à faire une vraie intégration et pas pour créer des classes – ghettos , qui n’aident ni les élèves italiens, ni les étrangers. Ceux qui ne parlent pas d’intégration mais la pratiquent et qui vivent des situations concrètes, soutiennent depuis longtemps que les classes où il y a seulement ou presque des élèves immigrés ne réalisent pas les conditions meilleures pour l’intégration« .
Elvio Pasca