Bravo Silvio!
Pour le leader de Forza italia, « c’est un devoir que de donner la nationalité aux fils d’étrangers vivant en Italie. L’école permet d’apprendre notre langue, notre histoire, et d’apprécier les éléments fondamentaux de notre civilisation. »
Pour le leader de Forza italia, « c’est un devoir que de donner la nationalité aux fils d’étrangers vivant en Italie. L’école permet d’apprendre notre langue, notre histoire, et d’apprécier les éléments fondamentaux de notre civilisation« . Que les fils des deviennent italiens devenus après avoir terminé un cycle scolaire. Silvio Berlusconi a lui aussi exprimé son accord à réformer la nationalité italienne aux secondes générations basée sur la fréquentation scolaire.
« Cette proposition est notre: nous en avions parlé lors d’une réunion de nos députés et avons meme écrit une intervention signée par l’une de nos parlementaires. Nous sommes pleinement d’accord sur cette question« , a déclaré le leader de Forza Italia, présentant le nouveau Département « Libertés civiles et droits humains » du parti.
«Nous retenons juste de donner la nationalité au fils d’un étrangers qui vit en Italie, quand cet enfant a fréquenté un cycle scolaire qui lui permet, non seulement de bien parler notre langue, mais aussi de connaitre notre histoire et d’apprécier les points fondamentaux de notre civilisation« , a expliqué M. Berlusconi.
Le cycle scolaire est la médiation souvent indiquée également par Premier ministre et leader du PD (Parti Démocrate), Matteo Renzi. C’est déjà présent dans la plupart des propositions de réforme en cours d’examen par la Commission Affaires Constitutionnelles de la Chambre des Députés. A ce point, au Parlement, les éléments sont réunis pour mener à bien une réforme largement partagée.
« Berlusconi aujourd’hui dit qu’il est d’accord avec le « ius soli » (nationalité par naissance): Faire cadeau de la nationalité italienne aux fils des immigrés, après un seul cycle scolaire. Je suis ABSOLUMENT CONTRAIRE!« , écrit sur Facebook, mais le secrétaire de la Lega Nord (Ligue du Nord), Matteo Salvini. « L’urgence actuelle n’est pas d’offrir la nationalité italienne ou le droit de vote. L’urgence est de relancer le travail en Italie: c’est nous, les «immigrés», chez nous!«