Business Immigration?
« Ils reçoivent € 2,5, le reste va à des installations qui les reçoivent», a déclaré le chef du département de l’immigration. « Lombardie et la Vénétie réticents à accepter, pour des raisons de soutien électoral. »
« Ricevono 2,5 euro, il resto va alle strutture che li accolgono” spiega il capo del dipartimento immigrazione. “Lombardia e Veneto restii ad accogliere, per motivi di consenso elettorale ».
« Ils reçoivent € 2,5, le reste va à des installations qui les reçoivent», a déclaré le chef du département de l’immigration. « Lombardie et la Vénétie réticents à accepter, pour des raisons de soutien électoral. » Les prévisions sur les débarquements avant, sont tout sauf rose. « En annonçant un printemps très occupé», les réfugiés continuent d’arriver, parce que vous devez garder à l’esprit « la crise régionale », à la situation en Irak et la Syrie, et « en particulier la situation dramatique que vous vivez en Libye, qui est le territoire plus proche de nous « .
Pour faire le point sur les voyages dangereux et tragiques de l’espoir dans la Méditerranée ce matin était le préfet Mario Morcone, chef du Département des libertés civiles et de l’immigration du ministère de l’Intérieur, au cours d’une audience devant la Commission des droits du Sénat.
« Le scénario de 2015 – il a expliqué – est inquiétant, nous ne pouvons pas faire usage de la ville de tentes. » Et les maires et les présidents des régions sont tous appelés à collaborer en fournissant des installations de réception pour trier les réfugiés, pas d’échappatoire « pour des raisons de soutien électoral. » L’objectif est de créer « un hôte civile nationale et non pas occasionnelle infrastructure. »
À ce jour, en effet, l’Italie répond inégale. « Les régions de Lombardie et de Vénétie [régies par la Ligue du Nord ed], ont résisté et continuent de résister et de coups de pied. Alors que la Sicile et la Lazio sont les régions qui en 2014 ils sont chargés sur la majeure partie de l’hospitalité », a déclaré Morcone .
Pourtant, a rappelé Morcone, à la Conférence commune du 10 Juillet avait atteint sur les procédures de réception. Voici ce qui est prévu.
«Ce est une grande réussite qui ne est pas ‘été évalué – a ajouté le préfet – un accord entre les régions et les municipalités avec l’État qui ont partagé le fardeau de bienvenue sur notre territoire. » Tout « de distribuer ces personnes dans la région avec moins d’impact et de plus grandes possibilités d’intégration. Un grand pas qui a, cependant, fait à reculer liée au débat qui vient dans les territoires et certaines régions plus réticents. »
Ensuite, il ya, bien sûr, un front européen, sur lequel encore ne parviennent pas à atteindre le résultat souhaité. « En Europe, rend difficile de prendre la vie d’une politique commune sur ces questions. Nous avons de grands espoirs sur le commissaire grec Avramopoulos, mais malheureusement, le débat et la discussion dans l’UE est limitée aux pays qui connaissent ce problème. »
Enfin, Morcone souhaite retirer l’eau de la propagande populiste, targata même cette très souvent, la Ligue du Nord, sur l’argent pour la réception. « Le 30 euro [qui est la dotation prévue pour chaque réfugié ed jour] ‘a été faite une tromperie honteuse. La vérité et« recevoir € 2,5 par jour. Le reste va aux structures qui fournissent les services.
« Le previsioni, sul fronte sbarchi, sono tutt’altro che rosee. « Si annuncia una primavera decisamente impegnativa », i profughi continueranno ad arrivare, perchè bisogna tenere presenti “le crisi regionali”, con la situazione in Iraq e Siria, e “soprattutto la situazione drammatica che si sta vivendo in Libia, che è poi il territorio a noi più vicino ».
A fare il punto sui pericolosi e tragici viaggi della speranza nel Mediterraneo è stato stamattina il prefetto Mario Morcone, capo del Dipartimento Libertà Civili e Immigrazione del ministero dell’Interno, nel corso di un’audizione davanti alla Commissione Diritti Umani del Senato.
« Lo scenario per il 2015 – ha spiegato – è preoccupante, non possiamo fare ricorso a tendopoli ». E sindaci e presidenti delle Regioni sono tutti chiamati a collaborare mettendo a disposizione strutture di accoglienza in cui smistare i profughi, senza sottrarsi « per motivi di consenso elettorale ». L’obiettivo è la creazione di “un’infrastruttura di accoglienza nazionale civile e non occasionale”.
Ad oggi, infatti, l’Italia sta rispondendo a macchia di leopardo. « Le Regioni Lombardia e Veneto [governate dalla Lega Nord ndr], hanno resistito e continuano a resistere e tirare calci. Mentre la Sicilia e il Lazio sono le Regioni che nel 2014 si sono caricate l’onere maggiore dell’accoglienza » ha detto Morcone.
Eppure, ha ricordato Morcone, nella Conferenza Unificata del 10 luglio scorso si era raggiunta un’intesa sulle procedure di accoglienza. Ecco cosa prevedeva.
« Si tratta di un grande risultato che non e’ stato valorizzato – ha aggiunto il prefetto – un’intesa tra Regioni e Comuni con lo Stato che hanno condiviso gli oneri dell’accoglienza sul nostro territorio ». Tutto ciò « per distribuire queste persone sul territorio con minore impatto e maggiore possibilità di integrazione. Un grande passaggio che ha però dei punti di caduta legati al dibattito che si accende nei territori con alcune Regioni più restie ».
C’è poi, naturalmente, un fronte europeo, sul quale ancora non riescono a raggiungere i risultato sperati. « In Europa fa molta fatica a prendere vita una politica comune su questi temi. Noi abbiamo grandi speranze sul Commissario greco Avramopoulos, ma purtroppo il dibattito e il confronto in Ue è limitato ai paesi che vivono questo problema ».
Infine, Morcone ha voluto togliere acqua alla propaganda populista, anche questa molto spesso targata Lega Nord, sui soldi destinati all’accoglienza. « Sui 30 euro [che è lo stanziamento giornaliero previsto per ogni profugo ndr] e’ stata fatta una mistificazione vergognosa. La verità e’ che ricevono 2,5 euro al giorno. Il resto va alle strutture che forniscono i servizi ».
