Comme le montrent les chroniques actuelles, les cas les plus graves et les plus mortels de coronavirus ont tendance à se concentrer chez les personnes âgées, surtout si elles sont déjà malades.
Par conséquent, ce qui se passe exactement avec la grippe se répète: le virus peut devenir la goutte qui déborde du bocal d’un équilibre pas si optimal dans l’organisme, déclenchant ainsi une série d’événements potentiellement graves.
La preuve en est également apportée par les recherches qui ont examiné ce qui s’est passé en Chine, selon lesquelles la mortalité était plus élevée chez les personnes de plus de 80 ans et en présence de maladies cardiovasculaires et respiratoires chroniques ou de diabète.
En général, selon l’examen, qui a touché plus de 72.000 patients, pour un total d’un peu moins de 45.000 cas confirmés, en général et en considérant tous les âges, la mortalité semble plus élevée chez les hommes que chez les femmes.
A rappeler que depuis le début du nouveau millénaire, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a lancé d’autres urgences mondiales: du SRAS à la grippe porcine en 2009, puis à la crainte d’une réactivation de certaines flambées de polio aux virus Ebola et Zika.
Ce qui compte, comme toujours dans le cas des infections virales, c’est toujours l’hygiène personnelle (voir les 10 règles du ministère de la santé: https://www.africanouvelles.com/coronavirus-les-10-regles-scientifiques-pour-se-proteger-du-covid-19/ ): se laver souvent (et bien) les mains est la première mesure de prévention fondamentale.
En bref. Il faut rester calme, se protéger et, en cas de symptômes tels que fièvre, toux, mal de gorge, ne pas aller à l’hôpital mais s’informer par téléphone auprès de son médecin ou des numéros de service 112 et 1500.