Recherche de solutions pour la mobilité urbaine et encouragement à l’utilisation de véhicules écologiques.
Le nouveau décret donne la possibilité de rouvrir de nombreuses activités (qui ont été fermées jusqu’à présent à cause du Coronavirus). Cela entraînera évidemment une forte augmentation du trafic, en particulier dans les grandes villes.
En outre, le moyen de transport préféré des citoyens pendant cette période sera sans aucun doute la voiture particulière, car elle est considérée comme plus sûre et la seule dans laquelle on peut être seul, sans contact et donc sans aucune possibilité de contracter le virus. Les transports publics fonctionneront, mais ils devront bien sûr se conformer aux nouvelles directives sur l’éloignement social et, pour cette raison, ils pourront garantir la circulation de beaucoup moins de personnes que la capacité.
Cela entraînera certainement des attentes plus longues aux arrêts de bus et de métro, avec des risques éventuels d’encombrement. C’est pourquoi sont recherchées des solutions qui permettront d’éviter les rencontres rapprochées avec de nombreuses personnes en ville, des moyens de transport alternatifs à la voiture à utiliser seul et qui permettront d’arriver à l’heure au travail, sans devoir attendre des heures les transports publics.
Le choix se portera principalement sur la voiture, mais le problème de la circulation en ville sera réel et ne doit pas être sous-estimé. C’est pourquoi le gouvernement et les administrations locales veulent proposer une incitation à utiliser des moyens de transport alternatifs et écologiques.
Le gouvernement veut établir la prime de mobilité alternative de 200 euros pour chaque citoyen qui décide d’acheter « des bicyclettes, y compris des bicyclettes à pédalage assisté, des véhicules de mobilité personnelle électriques, tels que des segways, des hoverboards et des scooters » ou qui utilisera le partage de voitures ou de scooters.
On ne sait toujours pas comment la demande de cette nouvelle prime sera faite, la procédure sera expliquée avec le nouveau décret, bien qu’elle sera probablement très similaire à l’Ecobonus sur l’achat de voitures électriques. Le ministre a prévu que « la prime peut être demandée par les résidents des villes métropolitaines et des zones urbaines de plus de 60 000 habitants« , mais on attend l’officialisation, car dans ce cas, tous les navetteurs vivant dans les petites villes et travaillant dans les villes seraient exclus.