Critiques internationales sur la gestion rom vers l’Italie et la France . Rome, 17 Septembre 2010. La querelle internationale continue sur la question rom entre la France et Union Européenne, même si, après l’appuie du gouvernement italien aux politiques de Sarkozy, le front contraire s’élargit même aux Etats Unis. La commission Européenne est beaucoup préoccupée par les politiques anti-immigration entreprîmes de la France et les thémes que cette vague de renouvellement de sentiment xénophobe puisse porter » un fort désir de dégagements qui de la France pourrait contaminer beaucoup d’autres pays européens ». Premier entre tous vraiment l’Italie qui déjà dans les jours passès avait été rappelée par Bruxelles pour les mesures contre les Rom. Asse, cela rome-Paris, que la Commission veut bloquer d’abord qui soit trop tard.
En effet soit la Malmstrom et la Reding (respectivement vice-président de la commission européenne et responsable de la justice) ont écouté les assurances de Besson mais ils ont voulu de toute façon préciser : « Rappellez-vous que la directive de 2004 sur la libre circulation des citoyens communautaires prévoit explicitement que n’importe quel mesure d’expulsion doit être individuelle et avoir des spécifiques motivations inhérentes à la dangerosité sociale des individuelles personnes expulsées. Les expulsions collectives ne sont pas contemplées dans aucun cas » .
En particulier l’UE a décidé à ouvrir une procédure à chargement de la France pas seulement pour constater la violation des règles européennes mais même pour être d’exemple aux autres pays qui pourraient limiter et vraiment pour éviter que l’Italie suive l’exemple de l’Eliseo avec des mesures encore plus drastiques dictées, par la Ligue Nord. Un moniteur, celui du vice-président et du commissaire qui semblent plus qu’un avertissement pour la politique anti-immigration que les deux pays veulent par contre porter avec force dans le G8 et G20 dont la France sera président.
Marco Iorio