Rome, 17 Septembre 2010 » De nos nombreuses recherches et d’enquêtes il n’émerge pas une’ Italie raciste, si pour racisme on entend ‘ convintion’ de déclarée une supériorité d’une race sur les autres. Ils s’enregistrent par contre, parfois, les attitudes xénophobes qui dans quelque mode sont l’antichambre du racisme. De toute façon on ne peut pas faire semblantde rien, ni suffit de condamner les intollétants et de réprimer les violents ». Il l’a souligné le président du Cnel, Antonio Marzano, pendant une audition à la Chambre dans le siège de l’Observatoire sur les phénomènes de xénophobie et racisme.
» Il faut comprendre qu’est-ce qui bouge les peurs pour élaborer des bonnes réponses et insérer dans le tissé social des antidotes sociaux et culturels efficaces. Ces phénomènes doivent être combattus avec l’intégration, c’est à cet effet est né la vraie sûreté. Apprendre à vivre ensemble avec les étrangers : c’est ça; la mode de lutter contre le racisme. ‘ intégration doit être sentie vraiment comme l’ âme de la politique migratoire ». Des Rapports du Cnel sur les indes d’intégration (à Juillet dernier, a été présenté le VII Rapport), a dit encore Marzano, » il arrive l’importante indication que l’approche juste est ce qui implique d’un coté la nécessité de combattre le racisme et de l’autre de contraster la tendance à l’isolation de la part de la minorité des étrangers ».
Ce modèle d’intégration » n’est pas » ni » inclusif, ni corporatif, tous les deux dans la crise dans les Pays européens de plus ancienne tradition immigration » , Marzano a par contre parlé de » l’ interculturalisme » en poursuivant une » progressive aquisition de citoyenneté à travers un procès de comparaison, de connaissance, de dialogue, d’interaction, qui tienne ensemble le respect des différentes cultures, perçues comme une ressource et une richesse, et des valeurs fondamentales de notre système démocratique et de constitutionnelle