L’appel des fils de l’immigration : » Réformées la loi sur la citoyenneté »
Rome , 18 Septembre 2010. Italiens avec le permis de séjour. Se sont les fils d’immigrés, nés et grandis ici mais pour des droits et des devoirs, à leurs parents. Dans beaucoup, « en se sentant orgueilleusement italiens ils se battent pour que Parlement legiferi pour une loi sur la citoyenneté qui donne la dignité et pair opportunité à laquelle ils seront des protagonistes dans la société italienne ». À la bataille participe même l’Anolf jeunes, association du Cisl animée par des garçons de la seconde génération, qui a lancé un appel au gouvernement. Une invitation à mettre d’une partie « les idéologies et les strumentalisation sur les thèmes de l’immigration, en se rendant conscient qu’en Italie vivent environ 1 million de jeunes italiens fils de l’immigration qui encore sont liées à un permis de séjour ».
« À l’attention On. le Berlusconi
« Nous ne sommes pas des immigrés, nous ne venons pas d’un autre pays, nous n’avons pas traversé les frontières, nous sommes ici dès le début de notre vie ».
Voilà l’appel des « secondes générations », des milliers de fils d’immigrés nés ou grandis en Italie, qui vont à école avec nos fils, ils parlent italien avec nos inflessioni dialectes et ils ne connaissent souvent même pas le pays dont proviennent leurs parents. On sent à tous les effets italiens, mais pour notre loi sur la citoyenneté ils sont étrangers parce que fils d’étrangers. Ils sont des jeunes italiens qui vivent dans l’incertitude parce que liés à un permis de séjour et en équilibre instable entre questures et bureaux immigration.
Pour combien de temps encore l’Italie fera semblant de rien ?
Pour combien de temps encore ces jeunes, ressource tout aujourd’hui rendue inutile et discriminée, vivront-ils dans l’invisibilité ? Les nouveaux italiens demandent des réponses pour leur futur. Un futur qui, pour myopie politique, est encore nié. Les fils de l’immigration demandent que cessent aux jeunes italiens avec la feuille de via,ils demandent aux Institutions de prendre, concrètement et dans le plus bref temps possible, des mesures qu’ils reconnaissent aux fils des immigrés le droit aux « jus seuls », en réformant l’actuelle réglementation sur la citoyenneté qui, par contre, laisse croître ces garçons dans une « terre de personne ».
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