Sept mille euro pour payer de faux donneurs de travail. Trois cents dénonciations deux cents expulsions
Rome, 01 Octobre 2010. De faux engagements payés jusqu’à sept mille euro. Les clandestins, surtout chinois, égyptiens et bangladeshes, versaient leurs économies à des sedicenti intermédiaires en espérant en revanche de pouvoir finalement se mettre en poche un permis de séjour. Même à Rome la Questura entame à faire lumière sur les plis obscures de régularisation, et de travail il y a beaucoup qui s’y considère qu’en province ont été présentées au-delà trente mille demandes. Bien huit mille, selon le bureau immigration sont les demandes souspectes, mille cinq cent celles sûrement fausses.
L’enquête a commencé, il y a un mois, lorsque beaucoup de personnes étaient convoquées par la préfecture pour rencontrer colf et badanti lorsque par contre ils n’avaient pas fait quelque demande. La Police donc a décalotté un tour déjà vu ailleurs, avec les immigrés en cherche d’un permis et compatriotes, agences de services ou avocats (même radiati en tant que les blanc) prêts à les trouver par les donneurs de travail. Déjà trois cent dénonciations (italiens ou étrangers) et deux cents expulsés. Considérée cependant beaucoup de demandes souspectes la balance est encore provisoire.
Maurizio Improta, dirigeante du bureau immigration, a expliqué dans une interview al Il Messager comme les escrocs utilisaient de fausses identités pour faire les demandes d’engagement » ils utilisaient des noms de défunts ou simplement en prenant le fortuitement de les énumère téléphonique. Une fois envoyée la » fausse demande » au Ministère, l’immigré obtenait le reçu et versait les sommes demandées dans la conviction de pouvoir être assumer et rentrer dans les paramètres prévus par la régularisation 2009. » Il avertit encore Maurizio Improta « Nous sommes de front à un nouveau et ultérieur phénomène, celui de la présentation de milliers de kit de la part d’étrangers qui demandent le permis de séjour pour attentte occupation sur la base de rien ! » .
Marco Iorio