Il y a quelque temps, les douaniers du Commandement provincial de Rome avaient dénoncé une organisation ramifiée et spécialisée, pour blanchiment d’argent (3 millions euros) et évasion fiscale internationale, dans les paradis fiscaux.
Outre les fonctionnaires de banques, antiquaires et entrepreneurs impliqués, il y a parmi les accusés même un prêtre.
« Mon père », en bon bonhomme qui prêche le paradis, a dû se dire: «Beh, en attendant d’aller au paradis, pourquoi ne pas mettre entre-temps « les deniers » au paradis (fiscal) terrestre: l’Éden (Oh! Pardon!… plutôt l’Édeniers)?»
Milton Kwami