Rapport d’Antigone sur la population prisonnière. » » Deux tiers de la croissance dû aux étrangers »
Rome, 23 octobre 2010. L’association Antigone a présenté hier à Rome le septième rapport sur les conditions de détention en Italie. Les données montrent un substantiel pleines des prisons dans les 206 instituts de détention observés, le rapport de 68.527 est détenu pour 44.612 poste de lits réglementaires. Délicate même la situation des détenus étrangers qui sont au-delà vingt cinq mille unités. Il y a dix ans seulement, il était 14.057.
Dans les derniers dix ans, en effet, les étrangers en prison ont augmentés de 11.107 unités. Selon les données présentées par l’association Antigone « les deux tiers de la croissance de la population de prison a été déterminée par les étrangers ». Une augmentation celui des détenus étrangers provoqué selon l’association par les lois qui punissent l’inottemperanza de l’obligation d’expulsion et prévoient peine majeurs pour les récidivistes. Le rapport dérivé des visites faites par l’association dans les mois de juinet de Juillet derniers, résulte que la majorité des prisons résultent hors loi du point de vue socio-sanitaire. Pour ceci, sont déjà 1.300 les demandes de recours à la Cour Européenne pour les droits humains contre les conditions de vie inhumaines
Selon les données d’Antigone la situation de la population de prison est ainsi distribuée : 43,7% des détenus sont prévenus, 15.233 sont les détenus en attente de jugement, qui représente un record absolu en Europe. Ils sont 28.154 qui ont commis des violations de la loi sur les drogues et 11.601 personnes qui doivent escompter peine inférieur à un an où la moitié sont des étrangers. Les ergastolani italiens sont 1.437 pendant que les étrangers 54. Le panorama ethnique de la présence étrangère dans les prisons voit les détenus marocains à la première place avec 5.330 présences, ils étaient 3.096 en 2000, suivis par les tunisiens 3.225 (2.148 en 2000) et les romains 3.045 (529 en 2000).
Marco Iorio