Le Ministre de l’Intérieur Roberto Maroni: «Plus de chiffres limités, entrera qui a un contrat».
Rome: 10/06/2011 – Aller outre les quotas du Décret des flux et «lever les plafonds» pour les immigrés qui veulent entrer en Italie, ayant déjà un contrat de travail, a déclaré le Ministre de l’Intérieur, invitant les entreprises et les associations à faire les sélections à l’étranger. «On ‘y est pas encore mais on y arrivera».
Intervenant au Festival de l’Economie de Trento, le Ministre de l’Intérieur Roberto Maroni a souligné que le contrat de travail «est un principe absolument correct et fondamental pour régler les entrées en Italie».
Le Plan pour l’Intégration (Piano per l’Integrazione) prévoit du reste un dépassement progressif des quotas. Surtout à travers la formation et la sélection dans les Pays d’origine, un canal encore peu développé.
Le Ministre de l’Intérieur a invité les entreprises et les associations sociétaires à utiliser davantage cette opportunité, déjà prévue par la Loi de l’Immigration.
«En Europe, il manque un modèle unique tant pour la réglementation tant pour le contraste à l’immigration irrégulière. Le modèle italien est celui qui se rapproche le plus au modèle unique européen qui devrait être atteint, parce que vu la forte autonomie que les 27 ont maintenu sur l’immigration, la Commission Européenne se trouve dans une situation de faiblesse», a-t-il dit.
Le Ministre a réaffirmé que l’immigration est un thème complexe qui doit être «affronté de manière articulée parce qu’il existe types d’immigrés: réguliers, irréguliers, les soi-disant économiques et les réfugiées ou demandeurs d’asile». .
Sur l’asile, selon Maroni «l’Europe bouge avec difficulté et lenteur, mais vers une juste direction, vers la concession de l’asile. L’Italie soutient le système commun d’asile, prévu dans le programme sur la sécurité européenne de Stockholm, qui inclut des interventions au niveau communautaire et de partage des Etats membres».
Sur la crise nord-africaine, Maroni a souligné que «l’intérêt et la priorité de l’Italie et de l’Union Européenne est de favoriser la permanence des cerveaux là-bas, pour asseoir un processus de développement économique favorisant l’équilibre de ces pays».
Elvio Pasca
