Des bâtons dans les roues du projet de développement soutenable de la BioHyst en faveur de l’Afrique, et destiné à révolutionner le continent.
C’est depuis près d’une année et demie que votre journal Afri-Nous a introduit le concept du système HYST (Hypercritical Separation Technology), cette invention révolutionnaire de l’Ingénieur italien Umberto Manola. Et cela est est encore d’autant plus extraordinaire puisque l’association « Scienza per l’Amore », en collaboration avec la société BioHyst, l’ont insérée comme point de force dans leur projet de sécurisation alimentaire, qui prévoit la diffusion et l’utilisation gratuite de la technologie HYST dans les pays africains.
Après les premiers mois qui ont été marqués par une accélération appréciée des travaux, on note malheureusement une perte de vitesse, un ralentissement frôlant le bloc que nous avons appris être dû à des attaques (étudiées?) contre les promoteurs de ce projet qui (comme c’était d’ailleurs évident dès le début) était destiné à piétiner pas mal de pattes sensibles, menaçant des tas d’intérets consolidés. Ces attaques empêcheraient l’Afrique de pouvoir jouir de cette aubaine, qui devrait changer le destin de son développement. D’où le cri: « Qui dépiste HYST?«
Notre unique souci est que tôt ou tard (espérons plus tôt que tard) la vérité émerge et triomphe!
Dans le soucis de nous renseigner, nous avons saisi les directs intéressés, c’est-à-dire l’Association « Scienza per l’Amore » (Science pour l’Amour) promotrice du projet « Bits of future: Food for All » (Fragments de futur: Nourriture pour tous).
Il en est ressorti qu’ont été ciblées en particulier,:
■ Danilo Speranza, idéateur du projet, timbré comme guru d’une secte aux moeurs répréhensibles;
■ l’Association accusée de moralité douteuse;
■ la technologie HYST accusée d’etre une fausse mystification;
■ et même l’Ingénieur Umberto Manola dont la réeele existence serait mise en discussion (?!?).
Nous faisosn partager ci-après les déclarations de l’Ingénieur Pierpaolo Dell’Omo, à propos des attaques que subit leur organisation philanthropique.
Des détails significatifs ont émergé à propos des accusations absurdes et infondées, manipulées pour tenter de bloquer le projet humanitaire « Bits of Future; Food for All », promu par l’Association « Scienza per l’Amore » et liée à l’utilisation de la technologie HYST, inventée par l’Ingénieur Umberto Manola.
Le fait qu’on eût pu douter des résultats attestés par des professeurs de l’Université de Piacenza (pas un, mais bien 5!), de l’Université de Milano et des rapports relatifs à des mois d’expérimentations rédigés par de sérieuses et compétentes sociétés du secteur énergétique, nous a laissés ahuris. Surtout que les Universités de Piacenza (2008) et de Milano (2011) ont formulé à peu près les mêmes évaluations, indépendamment l’une de l’autre.
Tandis que plusieurs autres universités italiennes (y compris Pisa et Roma Tor Vergata) et étrangères affichaient leur intention d’étudier les possibilités d’applications de la technologie HYST, il y en a qui ont pensé mieux de construire des thèses bancales et fausses, dans le but de frapper Danilo Speranza, l’Association « Scienza per l’Amore » et le projet humanitaire « Bits of Future: Food for All ».
Sur la page Internet http://mammoletta.wirdpress.com/, un anonyme a reporté le texte d’une dénonce déposée à la Police municipale de Rome – VIII Gruppo.
Le document est daté 24 novembre 2010 et récite textuellement: « J’apprends: suite aux communications de ce Bureau de police judiciaire, je déclare spontanément, devant les enquêteurs, que je désire ajouter d’autres nouvelles qui me sont parvenues et des réflexions sur le comportement de Mr. Danilo Speranza… »
L’opinion de cet anonyme(?) sur la technologie HYST est assez claire: « la machine du miracle » ainsi construite, « n’a aucune application pratique. Nous pensons que le projet est en cours depuis 1982, je crois qu’étant donné l’avancement de la technologie, cette ‘supposée’ invention est de loin dépassée par le dernier des mixeurs en commerce, avec séparateur de liquides, coûtant 50 euros maximum« .
Nous n’avons pas compris si le mystérieux plaignant est un professeur universitaire, un chercheur, un physicien ou un autre personnage compétent en matière… probablement un biologue ou un chimiste vu qu’il affirme: « Ma conviction de la non utilité de ce bidule n’était pas tellement la partie mécanique, qui tot ou tard aurait été mise au point, mais la partie biologique et chimique... »
Et même s’il était un expert, son opinion cogne contre celle d’au moins 4 universités, de l’ENEA (Organisme pour les Nouvelles technologies, l’Energie et l’Environnement), de l’IFAD (Fonds International pour le Développement Agricole) ou d’un haut responsable de la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture), des Ministres de l’Agriculture de deux pays africains ayant adhéré au projet humanitaire « Bits of Future: Food for All », voyons quelles sont les bases de sa conviction.
Dans sa dénonce, l’anonyme reporte textuellement: « Comme preuve de mes affirmations, je pourrais citer le résultat de la conférence tenue à Piacenza, le 15 décembre 2009, où le Prof. Francesco Masoero, chercheur de l’Université de Piacenza, interpellé, a ainsi répondu:
« Pour pouvoir utiliser les farines produites avec cette méthodologie, on devrait avant tout les immerger dans la soude (250 tonnes par jour) pour pouvoir peut-être les utiliser, éventuellement comme farine pour la nutrition animale, avec des coûts exorbitants, et après les avoir à nouveau examinées et constaté l’absence de venins actuellement présents en grosse quantité dans les farines traitées avec la méthodologie HYST. Ma réflexion sur le produit, comme il a été présenté par l’Ingénieur Umberto Manola, m’a poussé à lui communiquer que ce serait plus rentable de brûler ce produit pour produire de l’énergie« .
Vu que la dénonce est aussi détaillée, nous invitons à prendre vision du film intégral de la conférence du 15 décembre 2009, à l’Université de Piacenza (http://www.biohyst.it/galleria.asp?lang=it&idPag=429).
On pourra ainsi vérifier si ce qui a été reporté est effectivement ce qu’a dit le Prof. Masoero ou s’il s’agit d’un FAUX, Produit par le mystérieux plaignant.
Veuillez s’il vous plait contrôler si le Prof: Masoero a dit que:
■ dans les farines traitées avec la méthodologie HYST, il y a de grosses quantités de venins. Il ne l’a pas dit: C’EST FAUX!
■ on devrait immerger les farines dans 250 tonnes de soude par jour. Il ne l’a pas dit: C’EST FAUX!
■ il invitait l’Ingénieur Umberto Manola à brûler son produit: Il ne l’a pas dit: C’EST FAUX!
Le plaignant anonyme (ou serait-ce plutôt mieux de l’appeler faussaire) cite un autre professeur de l’Université, écrivant: « J’ajoute un commentaire du Prof. Aldo Prandini, chercheur de l’ISA (Institut de Sciences Appliquées) de l’Université de Piacenza, Ce produit ne peut être utilisé qu’après traitement avec la soude des pailles des céréales » .
Veuillez s’il vous plait contrôler si le Prof: Prandini a jamais dit que le produit peut être utilisé uniquement après traitement avec la soude. Il ne l’a pas dit: C’EST FAUX!
Veuillez s’il vous plait contrôler si le Prof: Prandini a jamais prononcé le mot « soude« : IL NE L’A JAMAIS PRONONCÉE » Il l’a prononcée concernant d’autres traitements , qui n’ont rien à voir avec le traitement HYST.
Et pendant que vous y êtes, veuillez s’il vous plait contrôler si le Prof: Masoero a, dans un sens ou dans l’autre, jamais prononcé les mots « venins« , « brûler« , « immerger« . IL NE LES A JAMAIS PRONONCÉS!
Pour amour de vérité, ces affirmations auraient dû être contrôlées, ce qui aurait demandé à peine une heure au maximum.
Et alors pourquoi les installations HYST ont-elles été séquestrées? Neuf mois ne suffisent-ils pas à la Police municipale de Rome pour vérifier la crédibilité des accusations?
Nous attendons impatients la fin de l’enquête, afin de pouvoir donner à nous-mêmes et à l’opinion publique, aux gouvernements africains intéressés au projet « Bits of Future: Food for All » et à tous ceux qui entre-temps sont morts de faim, des réponses:
■ La compétence technique du mystérieux plaignant a-t-elle été vérifiée?
■ Ses déclarations ont-elles été confrontées avec la documentation vidéo du séminaire de Piacenza?
■ Les Prof. Masoero et Prandini ont-ils été interpellés pour vérifier si le cumul de mensonges ci-exposées provenaient de leurs évaluations?
■ Ou alors, sans aucune vérification et sans aucun amour pour la vérité, ces calomnies ont-elles été acquises comme vraies?
■ Ou bien (pire encore) ont-elles été utilisées comme prétexte pour bloquer le projet humanitaire « Bits of Future: Food for All »?
Nous vous tiendrons au courant le plus tot possible. Entre-temps nous pouvons seulement espérer ne pas nous retrouver devant un des si nombreux cas de « syndrome du chasseur », phénomène psychologique par lequel on définit l’acharnement de l’enquêteur à effectuer des enquêtes injustifiées et coûteuses, pour soutenir ses soupçons, mais aussi à échanger comme preuves ce qui n’est que simples faibles indices. Surtout que, dans ce cas, il ne s’agit pas de faibles indices mais d’ÉNORMES FAUX ÉVIDENTS.
Ing. Pierpaolo Dell’Omo
Président de « Scienza per l’Amore »