Vive les mariés!
La 2ème édition du Salon International du Mariage de Ouagadougou (SIMO) s’est tenue du 26 au 28 septembre dans la capitale burkinabè autour du thème: «Les inconvénients du concubinage dans la société».
La 2ème édition du Salon International du Mariage de Ouagadougou (SIMO) s’est tenue du 26 au 28 septembre dans la capitale burkinabè autour du thème: «Les inconvénients du concubinage dans la société». Selon Lilyane Maïga, la promotrice de l’évènement, l’idée est de tout mettre en œuvre pour promouvoir le mariage. A cette occasion, un mariage collectif a été donc offert aux couples vivant en concubinage.
C’était au cours de la «Nuit de la Séduction», une soirée de glamour, une activité phare du SIMO, laquelle a permis à beaucoup de célibataires de se rencontrer et des couples qui se sont mutuellement déclaré des poèmes et de faire des demandes en mariage.
A en croire les organisateurs, l’heure n’est plus au concubinage avec tout son corollaire de problèmes mais au mariage pour tous. Ceci, pour une société plus sereine et paisible et un développement socio-économique du pays des hommes intègres
A noter que cette édition du SIMO a regroupé, pendant 3 jours d’affilée, les prestataires des métiers du mariage et marquée par une exposition-vente sur tous les métiers liés au mariage: décoration, couture, coiffure, restauration… Des conférences publiques ont été animées avec des conseillers matrimoniaux, un espace maquis était également ouvert tout au long de cette rencontre.
Par ailleurs, des formations ont été offertes en matière d’organisation de mariage, de décoration événementielle et en soins de beauté.
Une émission de télé-réalité dénommée «Mon mariage de rêve» a fait l’objet de concours mettant en scène des couples avec à la clé la somme d’un million CFA.
Pour jouer la carte de la prudence, vu le ravage du virus Ebola, les organisateurs de SIMO ont choisi de mettre une croix sur la participation des pays étrangers pour cette édition. Même si des partenariats avaient été tissés depuis des mois, et qu’ils tiennent à l’internationalisation du salon, les organisateurs estiment qu’il est mieux de ne pas créer des situations à risques pour les participants.