Plus d’immigrés sur l’ile, convention avec le Ministère de l’Intérieur expirée, travailleurs au chômage.
Avec Lampedusa sans immigrés et la déclaration de “port non sur”, plusieurs habitants seront probablement contents. Mais la musique musique est différente pour ceux qui ont travaillé à l’urgence, car l’Etat n’est pas un bon payeur.
En savent quelque chose les employés de l’entreprise « Lampesdusa Accoglienza » (Accueil Lampedusa), qui gère les immigrés sur l’ile et qui ont protesté contre les retards des salaires et pour demander des assurances sur leur futur.
Après avoir obtenu de la Préfecture une avance d’un million d’euros pour payer les arriérés de juillet et août, la société a commencé à licencier les salariés du Centre avec contrats permanents. Pour une autre centaine d’employés, les contrats ont expiré le 30 septembre 30, de même que l’accord entre la société et le Ministère de l’Intérieur (Viminale).
Le PDG, Cone Galip, explique que la société attend toujours de connaître les décisions du Ministère de l’Intérieur au sujet d’une possible extension de l’accord jusqu’au 31 décembre, pour la réouverture du centre d’accueil de Lampedusa, qui a actuellement été vidé.