La reprise économique passe aussi par le travail des migrants et des réfugiés. Ceux qui arrivent en Europe, devraient être intégrés dans le système économique le plus rapidement possible, déjà, à la demandé l’asile.
C’est ce qu’indique le FMI (Fonds Monétaire International) dans le rapport «Perspectives globales et Défis Politiques » à soutien du travail des ministres des Finances et gouverneurs des banques centrales du G20, et qui mentionne, parmi les chocs de nature non économique, l’urgence des réfugiés.
Le FMI suggère des politiques qui pourraient faciliter l’intégration:
♦ réduction au minimum les restrictions au travail durant la phase de la demande d’asile;
♦ renforcement des politiques de l’emploi destinées aux réfugiés;
♦ subventions aux employeurs privés qui embauchent des migrants;
♦ exceptions temporaires au salaire minimum (Smig) ou d’entrée, lorsque cela entrave l’emploi;
♦ soutien à entrepreneuriat unipersonnel;
♦ simplification de la reconnaissance des compétences;
♦ réduction des restrictions à la mobilité géographique des réfugiés, y compris celles liées au logement, ce qui leur permettrait de se déplacer où il y a plus de chances de trouver de bonnes possibilités d’emploi. (Ce ne plaira certainement pas aux pays de l’Europe du Nord).
(lire l’article en italien: http://www.stranieriinitalia.it/attualita/attualita/attualita-sp-754/fate-lavorare-migranti-e-profughi-il-consiglio-all-ue-del-fondo-monetario-internazionale.html)