Le 7ème Rapport annuel sur l’économie, rédigé par la « Fondazione Leone Moressa », a réaffirmé ce qu’avait déjà été soutenu par l’INPS (Institut national de Prévoyance Sociale), c’est-à-dire la nécessité pour l’Italie «d’avoir plus d’immigrés légaux», l’a souligné Tito Boeri, président de l’INPS.
«Je juge important de reprendre les données meme macro-économiques, déjà contenues aussi dans le rapport et rappeler, une fois de plus, les raisons pour lesquelles, dans la présentation du Rapport 2017, nous avons souligné la nécessité pour notre pays d’avoir encre plus d’immigrés légaux», a-t-il ajouté.
Et de rappeler che l’ISTAT (Institut Des Statistiques) prévoit une baisse de la population italiene de 6 millions, d’ici 2070, «avec une chute déjà dans les 20 prochaines années: 3,5 millions en moins, d’ici 2040. L’évolution s’explique, d’une part, par la baisse de natalité (le taux de décondation italien est parmi les plus bas de l’OCSE; il y a une chute de la population autochtone) mais il y aura aussi une baisse de l’immigration. Au-delà des effets transitoires du phénomène des réfugiés, on assiste à une baisse de l’immigration économique et la projection future nous porte à une réduction de la contribution positive des immigrés à la croissance de la population italienne, dont les étrangers empechent une chute majeure: 300.000 en mois en 2015, sans les flussi di immigrati (come si disparaissait la ville de Pordenone dans l’arc d’une année). Les implications des nouvelles projections de l’ISTAT (Institut des Statistiques) sont un revenu national plus bas et, pour ce qui intéresse le plus l’institut que je dirige, un recul substantiel des comptes».
Stranieri in Italia