« Une armée de bras en mouvement continu, suivi de pas avide par les caporaux ». Enquête de Terre de Moyen . Rome, 20 Sptembre 2010. L’Italie à des rayons x montre des visages pas vraiment sains, surtout lorsque diagnostique la plaie du travail noir et de l’exploitation des immigrés irréguliers. À en tracer les malaises est une enquête de « Terre de Moyen » qui ce mois ouvre avec titre fort et d’impact : « La république des esclavistes ». L’été est la saison dans lesquelles est demandée plus la main-d’oeuvre dans les camps et les irréguliers deviennent force-travaille indispensable pour porter à terme les journées ouvrables. Mais qui gère ces travailleurs, qui les choisit et qui les porte sur les camps ? Si d’un coté il y a les journaliers qu viennent en l’Italie pour des récoltes, de l’autre il y a les « caporaux » qui les suivent constamment.
Se sont eux les figures de la médiation mutuelle dans ce panorama fait du travail à noir, escroqueries, menaces et exactions. Se sont eux qui font de catalyseurs parmi les travailleurs et les propriétaires terriens, se sont eux que le matin choisissent les bras à porter aux camps et maintiennent des rapports fiduciaires avec les entrepreneurs locaux, en suivant constamment le flux migratoire des journaliers. Très souvent se sont les immigré même mais qu’on ne fait pas d’exploiter leurs compatriotes, comme par exemple ils montrent les enquêtes de la procuration d’Empans qui le 26 avril passé a porté à arrestation de 22 entrepreneurs et 9 caporaux, outre la séquestration des entreprises, des entreprises et terrains pour un total de 10 millions d’euro.
« Je reviens aux travaux forcés » ce nèest pas un théme relégué seulement aux collecteurs dans l’agriculture, mais elle est une plaie diffuse même dans les chantiers. En 2008, il recompte encore des Terres de Moyen, trois moldaves ont dénoncé l’Italedil de Reggio Emilie : » Ils étaient assumés régulièrement mais les frais pour le voyage et les documents étaient escaladés par des traitements et à l’écheance du permis de séjour ont demandés autre argent pour le renouvellemento ». Trouver cependant les travailleurs sur la place est trés difficile, vraiment parce que les entrepreneurs font levier sur la peur des immigrés d’être arrêtés, perdre les documents ou ne pas être plus payé qui font en sorte qu’ils soient très attentifs à ne pas se faire « attraper ».
Pour eux tous, outre l’exploitation sur la place de travail s’ajoute la dépense pour le voyage de leur pays d’origine fin en Italie avec la promesse d’obtenir un visa à la « modeste somme de 5-10 mille euro ». Argent qui sera escaladé du traitement des années mais avec les taux d’intérêts trés élevés. Pour ces syndicats et associations ils demandent à grande voix équiparare du caporalato à la traite des êtres humains et de le faire devenir un délit pénal, pour battre ainsi un « délit de type associatif » que ligue ensemble les entrepreneurs, les organisations criminels et les caporaux
Marco Iorio