Sarubbi et Touadì : » Clause cachée du traité Italie-Libia ? Que font les libyens quand personne ne les contrôle ? «
Rome, Septembre 2010 » Parmi les confondues et imbarazzate, non réponse du gouvernement sur l’affaire des coups de feu libyens vers le bateau de pêche italien, le ministre Maroni, en tentant gauchement d’expliquer l’incident, a révélé en directe Tv que les vedettes italiennes battants le drapeau libyen avaient confondu le bateau de pêche pour ‘ un bateau de clandestins ». Évidemment, une clause cachée du tristement célèbre Traité « d’amitiè »; Italie-Lybie autorise à tirer sur des êtres humains qualora soient migranti » . Ainsi, dans une note jointe, Andrea Sarubbi et Jean Leonard Touadi du Parti Démocratique, en annonçant une interrogation parlementaire sur l’ incident. » il y a quelque temps se rappellent les deux députés, le néoconsigliere régional Renzo Bossi, le rampollo du leader de la plaine du Pô, reclamizzo’ en une interview le jeu ‘ rimbalza le clandestin’. Nous pensions des fosses plaisanteries : évidemment par contre est éminence grigia qui guide les osées stratégies des Viminale sur le théme ».
» Malheuresement continuent les démocrates il y a vraiment peu à plaisanter. Trop sont les demandes inquiétantes qui émergent de cet épisode. Avant tout, à plus de deux ans de l’entrée en vigueur du traité Italie-Lybie, le ministre Frattini demande encore candidement des explications sur les règles d’engagement. Les vedettes de la garde de finance vous offrez de l’Italie au gouvernement libyen, ensuite, ils tirent sur les bateaux en mer lorsqu’ils devaient être par contre désarmé, et tout ceci sous le regard vigilant de militaires italiens payés nos nôtre concitoyens ».
» Si les autorités libyennes, qui ont été délégués par le gouvernement délicats des tâches de sûreté, violent ainsi manifestement les règles même en présence de nos observatoires, nous imaginons quel puisse être leur conduite dans le traitement de migrants et de réfugiés, gérés loin nos contrôles, des yeux de la presse et des règles sanctionnées des traités internationnaux ». » Le gouvernement, concluent Sarubbi et Touadi, ait un sussulto d’orgeuil : qui admette la faillite du traité avec la Lybie qui met l’eau partout mitragliato de la suffisance de Khadafi et coulé du bon sens, et reprenne finalement en main sa politique étrangère et de sécurité ».