Même celui qui suit des cours dans autres Pays membres peut ensuite renouveler le permis en Italie. Les éclaircissements du Viminale. 24 Septembre 2010 .Le permis de séjour pour étude garantit une certaine mobilité aux étudiants extracommunautaires dans l’Union européenne. Qui étudient dans un autre Pays UE peuvent en effet venir en Italie à poursuivre les études ou à dérouler un cours d’études complémentaire sans demander le visa d’entrée, et seulement s’ils restent plus de trois mois, ils doivent demander un permis pour étude « italien ». Le discours vaut aussi pour le contraire, pour les étudiants régulièrement résidents en Italie qui veulent se déplacer dans autres Pays de l’UE.
Mais qu’est ce qui se passe si on sort de l’Italie seulement pour une partie du programme d’études, par exemple pour projet Erasmus, et ce déplacement dure plus de six mois ? le texte unique sur l’immigration prévoit en effet que « le permis de séjour ne peut pas être rénouveler ou prolonger lorsqu’il résulte que l’étranger a interrompu le séjour en Italie pour une période continuative d’au-delà de six mois », à moins que ceci n’ait pas dépendu d’obligations militaires « ou en tant qu’autres graves et prouvés des raisons ». À moitié Septembre le ministère de l’Intérieur a expliqué avec une circulaire qui parmi les « graves et prouvés des raisons » peut y avoir même une période d’ étude dans un autre Pays UE, à condition que soit adéquatement documenté. Comment ? En présentant, lorsqu’on tourne en Italie, les certificats suivants.
a) Certificat relaché par université italienne qui dit que la fréquence de détails cours à l’étranger rentre ou qui est complémentaire au programme d’étude ;
b) Certificat qui démontre la régle permanence dans l’autre Pays UE (par exemple la copie du permis de séjour relaché par ce Pays)
c) Certificat relaché par l’université de l’autre Pays UE qui atteste la régle du déroulement d’une partie du programme d’études dans ces Pays
Elvio Pasca
