Debout et joignons les… deux bouts!
Pour un bref résumé, comment le monde actuel dont l’évolution n’est que magouille et de la combine substantifs; …ouf… Il est temps de voir et d’appeler les couleurs par leurs noms qui ne fait que retrouver les bonnes et idéales idées à cet propos…
Je vous invite plutôt à nous situer dans le cadre d’un projet d’usages et de pratiques d’une autre mesure du dire et du faire: je ne dis à personne de retourner en Afrique chercher du travail plutôt faire comme l’Italien qui a émigré aux USA; c’est une fabrique en marche.
Il faut que le dire et le faire n’obéissent plus à cet nouvel refrain de crise, crise selon laquelle peu importe qu’un but ait été atteint par des moyens illégaux ou prohibés par la morale ou l’éthique, la fin étant finalement le seul justificatif de la parole ou du comportement.
Vous voyez, il y a même certains pays qui, profitant de l’aide venue de l’UE, par manque de contrôle de leur gouvernement ou faille dans la gérance, sont actuellement en difficulté économique pour maintenir la main d’œuvre étrangère; même pour le mensuel administratif, il y a un coup de pouce de l’UE
Dans un tel monde, l’homme va droit à l’échec car, c’est un monde qui ne manquera pas d’engendrer l’injustice, la violation des droits de l’homme et donc des conflits et des affrontements, dont personne ne peut aujourd’hui deviner les conséquences, qui ne pourront être que néfastes (Syrie, Iran, Irak, Libye, Egypte, Darfour, Congo, Tunisie…) une longue liste.
Il faut prévenir ce grand mal dont l’humanité pourrait souffrir sous peu. Et comme il n’est pas en notre pouvoir de changer le monde, commençons, nous autres Africains, modestement, mais avec détermination par notre tribu: l’Afrique.
Commençons par y adopter l’éthique comme règle de comportement, comme s’il s’agissait d’un principe général de conduite obligatoire pour tous sans exception. Cela peut paraître utopique à certains, notamment à ceux dont la spécialité est la combine et la magouille. On nous dit que la crise est mondiale mais les auteurs sont là, pour ne citer que Mark Madoff (Wall Street). Mais bouche bée et la machine continue à tourner vers l’autre bout et, pour y arriver, un continent devait souffrir, et ce dernier désignera l’Afrique.
Répondez à l’invitation qui bloquera cette machine pour retrouver l’autre bout ensemble, avec moins de dégâts; et chacun aura sa part, selon sa présence à la recherche de solutions pour tous; avec ce niveau d’économique mondiale, tout état a besoin de son prochain pour retrouver le ouf de la stabilité. C’est le moment ou jamais de sortir pour mettre fin à ceux qui décident toujours à notre place.
Vives salutations à toute la communauté africaine!
Ombaye, Bassano Del Grappa (Vicenza – Italie)