C’est « m…Alain »!
En marge de la rencontre avec la presse tenue, vendredi 26 septembre à Dakar, et dont le principal point, la publication des 23 lions retenus pour la double confrontation entre le Sénégal et la Tunisie, Alain Giresse le sélectionneur national des Lions a fait une déclaration de taille.
En marge de la rencontre avec la presse tenue, vendredi 26 septembre à Dakar, et dont le principal point, la publication des 23 lions retenus pour la double confrontation entre le Sénégal et la Tunisie, Alain Giresse le sélectionneur national des Lions a fait une déclaration de taille. Interpellé sur le cas de ses adjoints qui, depuis qu’ils sont en ensemble en janvier 2013 courent derrière un contrat en bonne et due forme, en plus d’arriérés de salaires qui ne tombent pas, alors que lui chaque mois reçoit normalement son virement, le technicien Français a tenu à préciser: «Si vous le pensez ainsi, c’est bien, mais moi je ne vous dirai pas le nombre mois que je suis suis resté sans salaires…». Une manière très claire de dire à tous les sénégalais qu’il est dans la même situation que ses adjoints.
Des adjoints ( NDLR: Sidath Sarr entraîneur des gardiens et de l’Olympique de Ngor et Boubacar Gadiaga de Diambars), qui à l’en croire « sont loyaux et très admirables dans le travail. Car adoptant avec lui le projet qui les unit. Dans la difficulté, sans jamais en parler« .
A noter, que ce problème qui dure et perdure n’est pas une première au Sénégal. En effet si les autres sélectionneurs nationaux des autres catégories, sont sans contrat et sans salaire, avant la CAN 2012 en Guinée Equatoriale et au Gabon, le sélectionneur national d’alors Amara Traoré avait menacé de «boycotter» si ses adjoints dont Abdoulaye Sarr n’étaient pas payés, avant.
Pour ce cas précis, le président de la commission communication et Marketing de la fédération sénégalaise de football, le promoteur de lutte Gaston Mbengue affirme que « des solutions sont entrain d’être trouvées avec la Fédération et le Ministère des Sports, représentant l’Etat« .
