Il faut une régularisation des travailleurs étrangers.
Piero Soldini (CGIL): «La taxe sur les transferts d’argent ne produira aucune recette. Les immigrés seront exclus de la formation et ce sera plus facile des les licencier. Régulariser qui a un emploi serait «un acte de justice sociale et fiscale permettant d’énormes et les revenus de contribution».
« Une mesure particulièrement odieuse parce quelle rackette les maigres épargnes d’un misérable salaire au noir, fruit d’un boulot super exploité; le tout sans aucune intervention pour faire émerger le travail illégal « . C’est le commentaire du Responsable National pour l’Immigration du syndicat CGIL (Confédération Générale Italienne des Travailleurs), Peter Soldini, contrer la taxe sur les transferts d’argent des immigrés, contenue dans la Loi financière du Gouvernement italien.
Le syndicat CGIL souligne, cependant, la nécessité d’une «régularisation du travail au noir en général et, en particulier, de nombreux travailleurs et travailleuses immigrés qui, outre à être un acte de justice sociale, permettrait des recettes fiscales substantielles et contribution qui, selon une estimation de « Stranieri in Italia », reviendraient à plus de 3 milliards d’euros, par an. Et il s’agirait d’une mesure structurelle capable d’influencer positivement la croissance économique de l’Italie».
Au contraire «au-delà de l’effet de propagande, la taxe sur les transferts d’argent ne produira aucun résultat, sinon que le circuit privé ainsi que les transferts directs d’argent des migrants vers leur pays d’origine».
Pour le syndicat, ce n’est pas l’unique «acte de persécution et discrimination contre les immigrés» car il est également fixé « des exigences strictes en matière de formation professionnelle, excluant de fait. et penser que, selon le Mnistère du Travail, le stage et l’apprentissage devaient être un canal privilégié pour favoriser la rencontre entre la demande et l’offre de main-d’œuvre immigrée».
Elvio Pasca