La prochaine récolte du printemps risque, sans les travailleurs extracommunautaires.
Vu les délais techniques, la publication immédiate du Décret d’autorisation à l’embauche, à travers un processus transparent, rapide et simplifié, récompense les entreprises régulières et, comme le montrent les faits, constitue un important volant de légalité sur le territoire, souligne COLDIRETTI (Cultivateurs Directs).
Dans les campagnes, il faut immédiateiment au moins 35000 travailleurs extracommunautaires saisonniers, avertit la COLDIRETTI.
Le nombre des travailleurs étrangers dans les cmapgnes italiennes est passé à 112.515 unités, provenant de 149 pays différents, soit 9,54% de tous les employés agricoles, c’est-à-dire que, dans lòes champs, un travailleur sur 10 est étranger, avec une prévalence de néo citoyens UE, notamment roumains, slovaques et polonais.
Le nombre des Albanais et ex-Yougoslaves s’est stabilisé tandis qu’augmentent les Asiatiques (Inde) et Nord-africains (Maroc). Nombreux sont les districts ruraux où les travailleurs immigrés sont un élément bien intégré dans le tissu économique et social, comme dans le cas de la récolte des fraises (Région de Verona), betterave (Friuli), pommes (Trentino), fruits (Emilia-Romagna), raisins (Piemonte), jusqu’aux fermes en Lombardia, où les activités sont exercées pour la plupart par des Indiens et des Macédoniens (pastorisation).
Les travailleurs immigrés sont devenus indispensables pour la production de qualité: de l’elevage des vaches de race piémontaises pour le « parmiggiano », près d’un travailleur sur trois est indiens, mais les travailleurs extracommunautaires sont décisifs pour la récolte des pommes dans le Val di Non, la production de jambon de Parma, la mozzarella de buffle ou les raisins destinés au vin Brunello di Montalcino.