Font aussi partie du réseau des villes comme Genova, Torino et Reggio Emilia.
Les communes italiennes du réseau des villes interculturelles promouvera l’intégration et définira les bonnes politiques sur l’immigration. L’Assesseur Pierfrancesco Majorino: « Un choix évident, après les années de la peur, nous redevenons un lieu de rencontres ».
La ville de Milan a rejoint le Réseau italien des villes interculturelles, auquel adhérent déjà des villes comme Genova, Torino et Reggio Emilia.
Le Réseau vise à promouvoir une sensibilisation envers les valeurs positives de la diversité culturelle, entendue comme une ressource et non comme une menace. En font partie des villes qui travaillent ensemble sur des questions d’intégration et de politiques de gouvernance de l’immigration, définissant et mettant en réseau les bonnes pratiques locales, pour un meilleur dialogue interculturel et la participation des diverses communautés à la vie municipale.
«Rejoindre le réseau des villes interculturelles est une chose évidente pour nous. Nous sommes convaincus que Milan, après des années de la « peur » et de la méfiance, doive être redevenir la ville des « passages », des amalgames, de la rencontre entre les peuples de différentes biographies. Dans ce cadre, par exemple, les mesures que nous entreprenons pour les soi-disant secondes générations sont pour nous un engagement important et prioritaire auquel nous assurerons la continuité», explique l’Assesseur aux Politiques sociales, Pierfrancesco Majorino.
Selon l’Assesseur à la Culture, Stefano Boeri, «Milan n’a aucun pas besoin d’intégration. C’est déjà une ville du monde, riche en traditions et cultures,accueillant près de 200 communautés étrangères, qui y travaillent, étudient et vivent. Et ils veulent participer à la la croissance de cette ville, généreuse, mais en meme temps exigeante, qui demande la contribution de tous: d’une part, parce qu’elle ne veut pas que personne ne soit exclu, d’autre part, pour continuer à s’enricher encore plus ».